Le défi Azimut de Lorient, prélude à la Transat Jacques Varbre

Publié : 15 septembre 2021 à 9h21 - Modifié : 15 septembre 2021 à 9h21 par Dolorès CHARLES

Crédit : Stéphane Maillard

Le retour des bateaux du Vendée Globe, à l’occasion Défi Azimut à Lorient. Interview à suivre du skipper Louis Burton.

Le Défi Azimut à Lorient avec 14 duos, qui ont inscrit leur Imoca au Défi Azimut - une course au large des côtes morbihannaises. Au premier rang desquels « APIVIA » avec Charlie Dalin et Paul Meilhat (vainqueur du Fastnet), « LinkedOut » mené par Thomas Ruyant et Morgan Lagravière, ou encore « Bureau Vallée » avec le 3e du Vendée Globe en janvier dernier, Louis Burton, associé à Davy Beaudart. Le Malouin voit dans le Défi Azimut une opportunité de situer son nouveau bateau, avant la Transat Jacques Vabre qui s’élance le 7 novembre prochain.

"C’est une sorte de répétition générale. On aime bien y venir, parce qu’on est bien accueilli, et puis le format avec des runs permet de s’amuser, d’emmener des gens sur l’eau, et puis le format de 48 heures de course, ça commence à être une épreuve sérieuse. Voilà, on le fait en confrontation avec les autres à la sortie des chantiers d’été, donc sportivement c’est très intéréssant !"

Louis Burton de Bureau Vallée

Crédit : Simon Reungoat

Coup de fil à bord de « Bureau Vallée »

Le breton est-il vraiment « redescendu » de son nuage, moins de 9 mois après son exploit autour du monde.

"C’est aussi la magie de cette course, il y a un tel suivi, c’est une telle épreuve qu’on n’en revient pas le même que quand on est parti. Cela s’est particulièrement bien passé pour Bureau Vallée et moi, et on est porté par cet enthousiasme, par la gentillesse des gens… Non, je suis encore complètement dedans ! Les vacances de cet été, qui étaient notre premier break depuis la course, m’ont permis de retrouver le sommeil, de me recaler dans un rythme de terrien. J’ai toujours ça en tête, dans le cœur, et en même temps je suis reposé et d’attaque pour la Transat Jacques Vabre cette année."