Aventure. Deux soeurs vendéennes participent au jeu "Pékin Express" sur M6 !
Publié : 9 février 2024 à 17h45 - Modifié : 12 février 2024 à 9h52 par Hélène HAMON
Deux jeunes soeurs originaires de Nesmy, en Vendée, participent cette saison au jeu d'aventure diffusé sur la chaîne M6, depuis ce jeudi 8 février. Pour le binôme c'est un rêve qui s'est réalisé.
Elles affichent un large sourire à chaque fois qu'elles en parlent ! Les Vendéennes Inès et Lola, 22 et 25 ans, n'en reviennent toujours pas d'avoir pu participer à l'aventure "Pékin Express". La 18e saison est diffusée depuis ce jeudi 8 février sur M6. Huit nouveaux binômes sont en lice pour l’Asie du Sud-Est. Parmi eux, deux sœurs originaires de Nesmy, au sud de La Roche-sur-Yon : Inès et Lola sont nées au Vietnam et ont été adoptées par un couple d'agriculteurs... et les deux jeunes femmes ont toujours rêvé de participer à cette aventure.
Un rêve devenu réalité
"C'est vrai qu'on regarde depuis qu'on est toutes petites, depuis la saison 2, mais on a vraiment des souvenirs de la saison 3 avec les soeurs Pauline et Aurélie. C'est grâce à elles qu'on adore cette émission. On se retrouvait tellement en elles, on les adorait ! Chaque année, ou presque, il y a un binôme de sœurs ou de frères et on se compare et on se dit mais si c'était nous, qu'est-ce qu'on ferait ?
Nos parents sont agriculteurs et on ne pouvait pas voyager de par leur métier. C'est vrai que cette émission permettait à ma mère de voyager. On regardait tous les jeudis avec elle, c’était nos moments à trois, on disait petites que plus tard on ferait "Pékin Express" ... et aujourd'hui c'est fait."
Que retenir de cette aventure hors norme ?
"Durant l'aventure, on a vécu des moments difficiles, comme la barrière de la langue en Asie. Déjà que notre anglais n'est pas parfait, mais le leur encore moins ! Forcément, cela a été assez compliqué et après c'est le stop, mine de rien ce n’est quand même pas une tâche des plus simples parce que dans la vraie vie, on ne va pas au travail en stop, ni à l'école. On a le luxe de pouvoir se déplacer quand on veut et comme on veut. Ce sont les deux choses qui ont été les plus dures.
Il y a forcément aussi le manque de confort, on l'oublie vite parce qu'il y a des moments forts à côté : la rencontre avec les locaux, la gentillesse des personnes, c'est incroyable. Ils n'ont rien et ils donnent tout. On en sort vraiment soudées et contentes d'avoir participé à cette aventure ensemble".